Les cinéastes ayant soumis leurs oeuvres au festival Yarha, édition 2021, sont enfin fixés. Ce sont en tout 3 sections qui recueillent les 50 films retenus. 10 dans la catégorie compétition officielle, sans doute la plus courue. On a donc 6 pays : la Turquie avec Ali’s nature de Cetit Levent, le Trinidad & Tobago avec Hero de Frances Ann Salomon, la Namibie avec Tim Huebschle et son film Terre des braves. Le Cameroun, pays organisateur garde le plus gros du contingent avec le très attendu The Fisherman’s Diary de Enah Johnscott, The Chariot of Gods de Anurin Nwunembom, Eagle’s net de Olivier Assoua, 4Th generation de Cosson Chinepoh et Cutlass de B. Burri-Taka. Le Canada n’est pas en reste et vient chercher ce trophée avec Kuessipan de Myriam Verreault.
La section court métrage fera découvrir 10 films également, venus d’Afrique et d’Europe. Des films dont la durée varie entre 9 et 19 minutes. Une occasion de découvrir des espoirs du scénario et de la mise en scène du cinéma en Afrique.
Et pour finir, la section la plus fournie, celle du panorama. Ce sont pas moins de 30 films qui sont proposés. Une belle sélection qui laissera sans doute voir des films les plus divers. Y sont justement logés des films longs et courts métrages. Ils n’ont pas trouvé de place dans les sections de compétition mais méritaient d’être vus par le public. De « jeunes » réalisateurs dans le métier qui par leurs premières oeuvres longs ou courts ont tenu à se jeter dans l’aventure d’un premier film.
