Le film nigérian se hisse dans le top 10 d’une soixantaine de pays dans le monde.
Pour prouver l’innocence de son fils accusé à tort d’enlèvement, un diacre en deuil se lance dans une croisade contre un gang de policiers corrompus. Voilà le pitch de ce film sur Netflix. Et dès les premières images, le réalisateur ne laisse pas le temps au téléspectateur de réfléchir. Il rentre dans le vif du sujet. Les rues de Lagos aux couleurs et à l’ambiance particulières dans toute l’Afrique, plante un décor mêlé de chaos et d’intrigue. C’est sans doute ce cocktail qui tient la promesse de la prémisse qui a fait le succès du film d’ Editi Effiong. Et quand on parle de succès, c’est un vrai succès. The Black book en trois semaines et dans le top 10 dans pas moins de 69 pays à travers le monde : Maroc, Trinidad et Tobago, Jordanie, Canada, Chypre, Argentine, Guadeloupe, Mexique, Arabie Saudite, Afrique du Sud… les quatre coins du monde ont été frappés par la vague du Black Book. Une nouvelle encourageante pour les autres producteurs Africains qui peuvent surfer sur le crédit accordé par ce film.